Ambiance…

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Ce soir, je fais sautiller ta frange

Ca y est, je viens de valider mon inscription pour le Nanowrimo 2008. Je compte bien rajouter le macaron de vainqueur de l’édition 2008 à côté de celui de 2007 en bas de la page de ce site.

Contrairement aux prévisions, j’ai choisi de ne pas écrire le tome II de Airbag mais de commencer un tout autre projet qui aura pour titre « Pour solde de tout compte… ».

A minuit une, le clavier va crépiter.

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Ca me fait penser à quelque chose… mais à quoi bon sang ?


Poussins – comment c’est fait ?
envoyé par diem-perdidi

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Ca y est, c’est fini !

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Evasion

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Les camions malaxeurs sont des médias comme les autres…

Ceci est destiné seulement aux vrais fans de Dikkenek

Vous vous souvenez du plan final de la scène de la cabine téléphonique – carjacking du film Dikkenek sur la place Poelaert à Bruxelles ?

Mais oui enfin, quand un camion malaxeur traverse la perspective du Boulevard de la Régence avec une publicité « Vedett » sur sa toupie ?

Ce midi, je suis tombé sur un tel engin en panne, qui arborait la même publicité. Cela m’a rappelé immédiatement le film

Euh… et si c’était normal…

Les camions malaxeurs sont des médias comme les autres.

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Death star over San Francisco


Death Star over San Francisco
envoyé par miikehorn

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Ca n’a rien à voir avec toi… mais je crois que je ne suis pas prêt pour…

Retour imminent…

Comme le laissait présager le dernier envoi, il y a du changement dans l’air et une mise au vert en aller simple pour la campagne (New commune rural Wallonie CIM pour être plus exact socio-démographiquement parlant).

Après deux mois d’activité soutenue, les choses commencent à prendre forme et la civilisation et les beaux-arts prennent le dessus sur l’incurie, le chaos et l’à peu près.

Je me suis fixé comme objectif d’être prêt pour le prochain nanowrimo.

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Un beau tas de caisses

Certains comparent le prix des carburants, soit.

Concerné à la fois par la défaite de mon pouvoir d’achat et une migration prochainement planifiée, j’ai besoin de cartons de déménagement standards au meilleur prix. Après quelques recherches, les variations de prix sont étonnantes: 2,5 euros dans une grande enseigne de Bricolage, 2 euros dans une chaine de garde meubles, 1,8 euros chez un déménageur connu et 1 euro chez un garde-meuble / archiveur de Jumet.

Mesquinerie ? Pinaillage ?  Carburant compris, ma petite expédition dans le Hainaut proche m’a permis d’économiser plus de 55 euros (belges) vu les quantités concernées …

Question subsidiaire : Combien de cartons ai-je ramené ?

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Janvier 2007 – Juillet 2008

Principales dépréciations consécutives à la crise « des subprimes » (en milliards de US dollars):

  • Citigroup (USA) 58
  • Merrill Lynch (USA) 47
  • UBS (CH) 38
  • HSBC (GB) 19
  • IKB (D) 16
  • Royal Bank of Scotland (GB) 15
  • Bank of America (USA) 15
  • Morgan Stanley (USA) 13
  • JP Morgan Chase (USA) 12

233 milliards de dollars de pertes … tss tss

Source : les échos

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C’est bien ce que je pensais…

« Il n’était point mauvais que Baryton {l’employeur du narrateur} me considérât dans mon ensemble avec quelque mépris. Un patron se trouve toujours un peu rassuré par l’ignominie de son personnel. L’esclave doit être coute que coute un peu et même beaucoup méprisable. Un ensemble de petites tares chroniques morales et physiques justifie le sort qui l’accable. La terre tourne mieux ainsi puisque chacun se trouve à sa place méritée.

L’être dont on se sert doit être bas, plat, voué aux déchéances, cela soulage, surtout qu’il nous payait tout à fait mal Baryton. Dans ces cas d’avarices aigües les employeurs demeurent un peu soupçonneux et inquiets. Raté, débauché, dévoyé, dévoué, tout s’expliquait, se justifiait et s’harmonisait en somme. Il ne lui aurait pas déplu à Baryton que j’aye été un peu recherché par la police. C’est ça qui rend dévoué. »

Céline, Voyage au bout de la nuit

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Vive la remballe !

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La débauche

« Réalisant ces fabuleux personnages qui, selon les légendes, ont vendu leur âme au diable pour en obtenir la puissance de mal faire, le dissipateur a troqué sa mort contre toutes les jouissances de la vie, mais abondantes mais fécondes !

Au lieu de couler longtemps entre deux rives monotones, au fond d’un comptoir ou d’une étude, l’existence bouillonne et fuit comme un torrent.

Enfin, la débauche est sans doute au corps ce que sont à l’âme les plaisirs mystiques. L’ivresse vous plonge en des rêves dont les fantasmagories sont aussi curieuses que peuvent l’être celle de l’extase. Vous avez des heures ravissantes comme les caprices d’une jeune fille, des causeries délicieuses avec des amis, des mots qui peignent toute une vie, des joies franches et sans arrière-pensée, des voyages sans fatigue, des poèmes déroulés en quelques phrases.

La brutale satisfaction de la bête, au fond de laquelle la science a été chercher une âme, est suivie de torpeurs enchanteresses après lesquelles soupirent les hommes ennuyés de leur intelligence. Ne sentent-ils pas tous la nécessité d’un repos complet, et la débauche n’est elle pas une sorte d’impôt que le génie paye au mal ? »

Honoré de Balzac, La peau de chagrin

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Lettre à Epicure

« Cependant , en me montrant que la mort ne me concerne pas, tu portes ici une nouvelle estocade, car, si je ne suis plus là, elle n’est pas là, et quand elle sera là, je ne serai plus là. Je ne la rencontrerai jamais. Elle m’anéantira certes, mais fera disparaître avec moi peines, chagrins, souffrances, angoisse. Au fond, l’envisager comme la cessation de celui qui regrette m’apaise. Meurt, en même temps que nous, la possibilité même du manque, des déceptions, de la nostalgie ».

Alexandre Jollien, La construction de soi (un usage de la philosophie)

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« Sodomy for beginners ? »

Un petit gris Umnite m’envoie ceci par la poste :

« L’attrait pour l’idéal implique-t-il nécessairement une insatisfaction qui avilit le réel ? »

Je ne lui répondrai pas. Je réserve pour moi seul la teneur de ma réponse.

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